Текст песни «Diams - Venus»


A+ A-

J'ai le sang qui bout,
Le c'ur qui boume,
J'ai le sang qui bouge.
T'es sorti d'ou toi et ta belle bouche ?
Y avait des signes et ca ne trompe pas.
Rare de nos jours de trouver un homme qui ne trompe pas.
Tu m'as tape dans l'?il j'en ai perdu la vue,
Sape dans le neuf j'en ai perdu ma rue.
T'as donne de l'amour a ma plume,
Moi qui suis si dure d'habitude, j'en ai perdu mon amertume.
Plonger dans ton c'ur devenait une evidence,
Sur ton corps immense qui fredonnait un air pour que j'y danse.
T'etais si doux, t'avais tout pour me plaire,
Tout pour que je tombe mais aussi tout pour me perdre.
Quand j'y pense j'en perds reperes et vigilance,
Et seul ce silence ici me rappelle ta presence.
T'es sorti d'ou, toi et tes valeurs ?
T'avais mis ou mon mal etre, mes mots, mon mal et mes malheurs ?
Des gestes lents en guise de langage,
Un zeste de langue et je restais la, sans languir de nos voyages.
Sans longueur notre histoire n'est pas comme la leur,
La notre a l'allure de love, mais s'est eteint ta douleur

J'ai le sang qui bout,
Le c'ur qui boume,
Cet amour trop tabou.
T'es sorti d'ou toi et ta belle bouche ?
J'voulais te parler mais j'en ai perdu la voix
Faut dire que ton amour n'etait pas tres dur a voir.
J'te disais : "Un jour on fera des enfants, des bouts de toi"
Enfin et dans le fond j'taurais dis : "Fais-moi en plein."
Tu disais "Je suis droit parce que mon fils doit l'etre,
Et puis j'ai la foi parce que ma fille doit naitre."
Tu me parlais religions et croyances,
Collision, trilogisme et clairvoyance.
Ainsi je t'ai donne mon c'ur, mon corps et dans mon camp
T'as baise sans ranc'ur une femme pour cinq minutes de bon temps.
T'as foutu en l'air deux ans de vie commune,
T'as failli me pousser au meurtre, moi qui suis pourtant sans rancune.
T'avais le pouvoir dans ton futin,
Tu voulais tout avoir et tes conquetes surtout ton butin,
En baisant cette fille tu m'as baisee aussi, ton amour etait nocif,
Moi qui revais que de nos fils.
Tu m'as offert une histoire sans fin,
Aujourd'hui je sais que l'amour n'est pas une histoire sans fin.
Prenez garde a ce sentiment qui etouffe,
Moi je pensais revivre, mais j'en ai perdu mon souffle.